L’association expérimentale contradictoire «Chaque wind-GenÄir8töZ Bild is sense de la vie = 6+3+2» est un colloque « universALL »

(« WorldWeites ») autour de la question des possibilités des images de ne pas faire partie de l’espace, même si elles ont été matériellement supprimées de la catégorie physique de l’espace. Précisément pour cette raison, nous devons examiner leurs possibilités d'activation dans l'espace et leurs contacts ou leurs limites avec celui-ci. De plus, nous devons considérer sous ce projecteur comment les images peuvent influer sur leur environnement social sans distiller à l’avance un message social ou une opinion toute faite. Peu importe ce que vous voyez en elles, elles agissent à un sous-niveau de leur antimatière, à partir de leur principe formateur, puisqu’elles sont des images. Nous monterons leurs influences familières et leurs émanations privées psychologiques. Pour étudier cela  et dans l’espoir de considérer cette problématique directement dans toutes les occurrences spatiales de l’espace, nous inviterons 6 plus 3 plus 2 images de toute l’Europe. Donc il y a quatre murs, le plafond et le sol, qui limitent l’espace, le fixent et l’isolent. Sur chacune de ces six surfaces présentes il y aura une image. En outre, sur ces surfaces, les sorties et les entrées produiront à ces endroits des images spécifiques. Par entrées et sorties, il faut entendre les fenêtres, la porte et l’interrupteur de courant. Il y aura encore deux lieux d’arrêt pour s’attarder dans l’espace qui seront occupés par des images : une chaise et une table. Le vent et avec lui sa position (sens) interne et rationnelle (sensée), qui lie aussi les images « Body and Soul » et les coupe (à la faux). Comme le vent est image mais n’est pas espace, bien qu’il nous touche physiquement. L’image est psychédélique, comme le vent qui vascille entre les feuilles et dans le ciel bleu (Ether). Le vent comme l’image amène de la communication et des échanges entre les objets, les organismes vivants, les choses tangibles et les concepts (de même la langue, la médiation de concepts par les mots sont véhiculés par le vent). Le sens (sense) de l’image n’est jamais sa matière et encore moins son sujet. C’est un départ continuel qui jamais n’arrive (imma). Ainsi l’image est générée par le vent, car celle-ci est générée par elle-même et n’est pas simplement matière ou sujet. Mais l’appréhension de la matière et du sujet, qui donnent à l’image un terreau fertile et expérimental, et qui en produisant l’image tissent un rapport avec elle, fait partie de cette initiation.

 

Si l’on prend l’exemple, à la fois le plus simple et le plus complexe, de la couleur, on voit très bien, que les couleurs ne produisent pas seulement quelque chose de virtuel, qui constitue sa matière ou un symbole de la réalité qui l’entoure, mais qu’elles peuvent provoquer quelque chose d’intense. Dans « le show », chaque image montre ses conclusions explicites à la scène (la scène artistique ou la scène dans l’espace), à la société et à la virtualité, pour pouvoir apporter dans le débat de la résistance et « apprendre par les images ».

 

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Die experimentell-widerständige Zusammenkunft „chaque wind-GenÄir8töZ Bild is sense de la vie = 6+3+2“  ist ein „WorldWeites“ Symposium zur Frage welche Möglichkeiten es für Bilder gibt nicht Raum zu sein, obwohl sie materiell in der physischen Kategorie des Raumes aufgehoben sind? Gerade deshalb sollen hier ihre Aktivierungs-Möglichkeiten im Raum und ihre Berührungen bzw. ihre Grenzen mit diesem geschaut werden. Desweiteren soll unter diesem Scheinwerfer betrachtet werden wie sie sich auf ihr soziales Umfeld auswirken können ohne dabei vorher eine soziale Message oder ein meinungsschwangeres Motiv eingeimpft zu bekommen. Ganz egal was man auf ihnen sieht, sie wirken auf einem Sublevel aus ihrer Anti-Materie heraus, aus ihrem, wenn sie Bild sind, bildenden Prinzip. Gezeigt werden ihre familiären-Einflüsse und privatpsychologischen Ausflüsse. Um dies Auszuloten wurden, in der Hoffnung dieses Problem direkt an allen Aufbewahrungsorten des Raumes zu sehen, 6 plus 3 plus 2 Bilder aus ganz Europa eingeladen. So sind es die vier Wände, die Decke und der Boden, die den Raum begrenzen, ihn fixieren und abdichten. An jeder der hier vorhandenen sechs fixierten Flächen wird ein Bild sein. Außerdem wird es an den Flächen, die Ein- und Ausgänge in den Raum sind, ortsspezifische  Bilder geben. Die Ein- und Ausgänge sind hier: Fenster, Tür und Strom(Schalter). Exemplarisch werden noch zwei mögliche Aufenthaltsorte zum im-Raum-verweilen mit Bildern besetzt: ein Stuhl und ein Tisch. 

 

 

Der Wind  und mit ihm ihre innere, sinnvolle (sensé) Haltung (sense), verbindet die Bilder und schneidet sie ab (Sense), auch im „Body änd Soul“.Wie Wind ist Bild aber nicht Raum, sondern berührt ihn nur physisch. Psychedelisch ist das Bild wie der Wind zwischen Blättern oder im blauen Himmel(Äther) am flackern. Der Wind führt wie das  Bild Kommunikation und Austausch zwischen Gegenständen, Lebewesen, Greifbarem und Begriffen (auch die Vermittlung von Begriffen in Wörtern, die Sprache, wird vom Wind getragen). Da Sense des Bildes ist niemals seine Materie geschweige-denn sein Motiv. Es ist ein andauernder Austritt der niemals ankommt (imma). Deshalb ist das Bild dann windgeneriert, wenn es selbst  generiert und nicht einfach Materie oder Motiv ist. Aber auch das erfassen von Materie und Motiv, die dem Bild fruchtbaren und experimentellen Nährboden geben und die im Erzeugen von Bild ein Verhältnis zum Bild sind, ist Teil dieser Initiation. Am einfachsten und gleichzeitig kompliziertesten Beispiel, der Farbe, ist sehr gut zu sehen, dass Farbe nur dann wenn sie etwas Virtuelles erzeugt, das nicht ihre Materie oder ein Symbol der umgebenden Wirklichkeit ist, intensiv wirken kann. In der Show zeigt jedes Bild  seine expliziten Forschungergebnisse auf, um in der Diskussion, der Szene (Kunstszene und Szene im Raum), der Société und der Virtualität Widerstand leisten zu können:„Learning from Bilder!“